05-08-2024
9 actions QVT (Qualité de Vie au Travail) pour votre entreprise
Aujourd’hui, c’est au micro de Valentin que Justine et Marion, toutes 2 dĂ©veloppeuses chez elmy aborde cette question de la reprĂ©sentativitĂ© des femmes en entreprise, et plus particuliĂšrement celle des femmes dans la tech.
Parce quâil nây a pas mieux quâelles pour prouver qu’on peut s’orienter vers les mĂ©tiers de l’informatique n’importe quand !
Marion – J’ai acceptĂ© l’invitation parce que je pense qu’aujourd’hui, c’est important de faire connaĂźtre les mĂ©tiers de la tech et la prĂ©sence des femmes dans ces mĂ©tiers, et de montrer aux femmes que c’est possible de rentrer dans ce genre de mĂ©tier, qu’il ne faut pas avoir d’apprĂ©hension Ă aller vers ce genre de mĂ©tier.
Justine – Je trouvais cette dĂ©marche trĂšs intĂ©ressante, et je trouve ça cool de faire passer mon message et de partager mon expĂ©rience.
V. En parlant dâexpĂ©rience, vous avez toutes les 2 un parcours atypique, puisque vous ĂȘtes aujourd’hui dĂ©veloppeuse, mais ça nâest pas la voie qui vous aviez choisi au dĂ©part.
M. J’ai un BTS Bioanalyse et contrĂŽle, et au bout de quelques annĂ©es, je commençais un petit peu Ă m’ennuyer. JâĂ©tais dĂ©jĂ trĂšs intĂ©ressĂ©e par l’informatique et le milieu de la data.
J’ai commencĂ© un cursus de bio-informatique, et c’est pendant ce cursus que jâai
découvert la programmation. Je me suis dit pourquoi pas sauter le pas et me reconvertir
en tant que dĂ©veloppeuse ? Câest suite Ă cette rĂ©flexion qui a durĂ© quand mĂȘme
quelques mois, que je me suis un petit peu renseignĂ©e, j’ai dĂ©couvert que certaines Ă©coles proposaient des formations courtes de dĂ©veloppeurs web, et du coup, je me suis lancĂ©e.
J. Alors moi, je ne me destinais pas du tout au milieu de l’informatique au dĂ©but.
Je suis partie sur une licence de langue pour ĂȘtre traductrice, depuis que j’Ă©tais au collĂšge je crois que je voulais ĂȘtre traductrice, et du coup, je me suis lancĂ©e.
J’ai fait ma licence, et j’ai fait une pause au milieu, puis je me suis dirigĂ©e vers un master liĂ© au dĂ©veloppement qui mĂ©langeait les deux. J’ai pu avoir plusieurs matiĂšres liĂ©es au dĂ©veloppement, la gestion de projet, au SEO, marketing, et aussi Ă la traduction.
Et finalement, ça m’a vraiment confortĂ© dans l’idĂ©e que je voulais ĂȘtre dĂ©veloppeuse.
J. La particularitĂ© du master, c’est qu’il Ă©tait liĂ© Ă la facultĂ© des langues. Et c’est un fait, il y a beaucoup plus de femmes dans les Ă©tudes de langues, et lĂ c’Ă©tait la mĂȘme chose. Il y avait beaucoup plus de femmes que d’hommes. Par contre, les volontĂ©s, les orientations qu’ont pris les gens aprĂšs ce master ont Ă©tĂ© assez reprĂ©sentatives : beaucoup de femmes se sont dirigĂ©s vers la traduction.
Seulement deux ou trois personnes se sont orientĂ©es comme dĂ©veloppeurs. Et bon, la bonne nouvelle, c’est que c’Ă©tait des femmes, dont moi.
M. Je venais d’un milieu complĂštement fĂ©minin. Je suis arrivĂ©e dans ma promo, on Ă©tait 15 au total
dont deux femmes. Lâautre a abandonnĂ© au cours du cursus, donc je me suis retrouvĂ©e un peu seul avec 14 hommes.
Les enseignants Ă©taient exclusivement des hommes, donc oui la mixitĂ© il y en avait pas, ça c’est sĂ»r.
V. Justine, tu peux nous parler de ton vécu ?
J. Je voyais beaucoup de femmes en reconversion dans ce domaine et ça m’a rassurĂ©e. On m’avait dit, quand j’Ă©tais en Ă©tude, que c’Ă©tait un milieu de requin, que c’Ă©tait un milieu d’hommes – ce qui est vrai dans la grande majoritĂ© il y a beaucoup d’hommes – et que ça allait ĂȘtre difficile pour moi.
J’avais beaucoup d’a priori sur la façon dont j’allais ĂȘtre traitĂ©e en entretien et mĂȘme aprĂšs en entrant vraiment dans une entreprise.
J’avais aussi toute cette peur des remarques sexistes, de choses qu’on m’a dites, comme par
exemple que jâallais devoir m’adapter, qu’il va falloir que j’accepte que l’on peut avoir des remarques dĂ©placĂ©es Ă mon Ă©gard parce que je suis une femmeâŠ
L’idĂ©e que je doive m’adapter me posait problĂšme en fait, une femme n’est pas censĂ©e s’adapter Ă un milieu d’hommes, elle est censĂ©e ĂȘtre acceptĂ©e comme telle et pas parce que c’est une femme ou un homme donc j’avais dĂ©jĂ cette peur lĂ de vivre des situations embarrassantes.
V. C’est pessimiste et donc tu te crĂ©es des angoissesâŠ
J. Surtout quand de base on peut ne pas trop avoir confiance en soi, on se dit âah oui donc j’ai choisi en plus ce domaine lĂ , le domaine oĂč il y a pas mal d’hommes, oĂč je pouvais me faire Ă©craser par les hommesâ. Et Ă cĂŽtĂ© de ça, je suivais l’actualitĂ©, je voyais quand mĂȘme ces femmes en reconversion, je voyais des femmes aussi sortir d’Ă©cole dâingĂ©nieur, d’Ă©cole informatique et je me dis âc’est bien, on Ă©volueâ. Beaucoup d’entreprises Ă©taient trĂšs contentes de voir des femmes en entretien. J’ai eu, un moment aprĂšs, le recul de me dire âest-ce que je suis embauchĂ©e parce que je suis une femme ou pour mes compĂ©tences ?â.
Il y avait en plus la problĂ©matique que je partais de zĂ©ro, donc est-ce que vraiment jâai des compĂ©tences ? J’avais cette peur, et je me disais âest-ce que les gens sont contents parce que je suis juste une femme et que je vais pouvoir rĂ©pondre Ă leur quota ?â.
V. Et ces peurs ont pu ĂȘtre apaisĂ©es avec le temps ?
J. ComplĂštement, je n’ai pas trop d’Ă©lĂ©ments de comparaison puisque elmy est ma seule expĂ©rience professionnelle. Quand je suis arrivĂ©e au sein de lâĂ©quipe IT il y avait d’autres femmes, sur des postes de product owners. Au dĂ©but, j’Ă©tais la seule dĂ©veloppeuse, mais j’ai senti qu’on m’intĂ©grait. En plus, il y avait cette position de junior, j’avais tout Ă apprendre. En fait ma plus grosse problĂ©matique c’Ă©tait pas tant d’ĂȘtre une femme, c’Ă©tait plus d’ĂȘtre junior et de devoir tout apprendre. Maintenant ça a beaucoup changĂ©, on est de plus en plus de femmes au sein de lâĂ©quipe IT chez elmy, et ça m’en heureuse, c’est cool.
J’ai Ă©tĂ© rassurĂ©e sur le fait que je n’allais pas ĂȘtre juste dĂ©finie par le fait d’ĂȘtre une femme et du coup je nâai pas eu de crainte. Je me rends compte que mon Ă©volution est plus liĂ©e Ă ma confiance en moi. Je sais ce que je vaut et c’est pas ĂȘtre une femme qui va me âlimiterâ. Je ne l’ai jamais ressenti car je nâai jamais Ă©tĂ© dans une entreprise oĂč on mâa fait des remarques sexistes, oĂč on mâa mise de cĂŽtĂ© parce que j’Ă©tais une femme. Je pense que câest une histoire de vĂ©cu. Mon Ă©volution est plus liĂ©e Ă un gain de compĂ©tence, un gain de confiance, que au fait de me mâĂȘtre sentie Ă l’aise en tant que femme.
M. J’ai commencĂ© par un stage aprĂšs ma formation, et c’est vrai que sur le plateau technique, on devait ĂȘtre une trentaine de dĂ©veloppeurs au total et on Ă©tait deux femmes, donc encore une fois, pas trop de mixitĂ©. Et finalement, ça Ă©tĂ© la mĂȘme chose dans mon stage, dans ma premiĂšre expĂ©rience, dans mes autres expĂ©riences, mais ça se passait plutĂŽt bien. J’ai peut-ĂȘtre eu de la chance, en tout cas je nâai eu aucun problĂšme Ă m’intĂ©grer dans les Ă©quipes majoritairement masculines.
Il y a certaines blagues qui peuvent apparaĂźtre d’un milieu masculin mais je pense qu’il ne faut pas tout prendre au premier degrĂ©. Tout de suite, j’ai ressenti une bienveillance de la part de mes collĂšgues et finalement ça a roulĂ©.
Je pense que la mixitĂ© est importante. L’homme et la femme sont complĂ©mentaires et peuvent sâapporter beaucoup de choses autant sur le plan humain que professionnel. On n’a peut-ĂȘtre pas la mĂȘme façon de voir les choses ou la mĂȘme façon de travailler, et du coup je pense que justement, les deux sâapportent une certaine complĂ©mentaritĂ© dans le travail.
Finalement les relations sont relativement saines, franches et ça se passe bien.
A contrario des Ă©quipes qui vont ĂȘtre complĂštement fĂ©minines, oĂč parfois on va ĂȘtre un peu plus regardĂ©s entre femmes, on va peut-ĂȘtre plus subir de jugement. Je trouve que finalement ĂȘtre dans une Ă©quipe mixte ou plus masculine, on a moins ce jugement, c’est plus naturel, c’est plus franc.
V. Tu n’as pas eu Ă changer de comportement, que ce soit de ton fait ou malgrĂ© toi, au
contact justement d’Ă©quipes plus masculines?
M. Non, et je dirais que c’est mĂȘme tout l’inverse. Câest mon ressenti mais au contraire je me sens plus moi-mĂȘme depuis que je suis dĂ©veloppeuse. Quand je fais la comparaison avec mon ancien mĂ©tier, je faisais attention Ă comment je m’habillais, peut-ĂȘtre aussi par peur d’ĂȘtre jugĂ©e par les autres femmes et finalement aujourd’hui j’ai l’impression d’ĂȘtre moi-mĂȘme et de pouvoir me comporter comme je le souhaite et sans forcĂ©ment penser Ă ĂȘtre jugĂ©e.
M. J’ai beaucoup entendu quâil fallait ĂȘtre trĂšs bon en mathĂ©matique pour pouvoir accĂ©der Ă ce genre de mĂ©tier. Aujourd’hui ĂȘtre dĂ©veloppeuse demande de la logique mais pas forcĂ©ment un excellent niveau en mathĂ©matique. Et c’est mon cas d’ailleurs, je n’ai pas un excellent niveau en mathĂ©matique mais j’ai pas mal de logique.
Et au final je pense qu’il faudrait un peu briser ses barriĂšres et ses stĂ©rĂ©otypes et je pense que les femmes seraient beaucoup plus Ă mĂȘme de se diriger vers ce mĂ©tier.
J. En parlant du mĂ©tier de dĂ©veloppeuse, il a longtemps Ă©tĂ© connotĂ© : c’est un homme, c’est souvent des geeks, c’est souvent des gens introvertis ou dans leur coin. Donc on part dĂ©jĂ avec cette image. Pour moi, les milieux masculins nâen sont pas, comme par exemple les jeux vidĂ©o. Je le compare souvent, mais ce sont des choses que l’on n’a pas prĂ©sentĂ©es aux petites filles de la mĂȘme maniĂšre qu’on les a prĂ©sentĂ©es aux petits garçons.
Les ordinateurs, c’Ă©tait souvent les garçons qui allaient dessus, et je pense que la gĂ©nĂ©ration qui a commencĂ© Ă toucher Ă des ordinateurs, donc la nĂŽtre, n’a pas laissĂ© la place aux femmes Ă ce moment lĂ . La maniĂšre dont on reprĂ©sente tout le temps le clichĂ© du dĂ©veloppeur n’est absolument pas la rĂ©alitĂ©.
Historiquement parlant, on sait que les premiĂšres informaticiennes Ă©taient des femmes. Quand on a commencĂ© Ă donner de l’importance Ă ce mĂ©tier lĂ , quand on s’est rendu compte que cela marchait, quand on s’est rendu compte qu’il fallait des personnes pour diriger, et bien ça Ă©tĂ© des hommes.
On s’est rendu compte que le mĂ©tier Ă©tait trĂšs valorisant, trĂšs valorisĂ© et du coup, petit Ă petit on a commencĂ© Ă ne plus voir de femmesâŠ
J. Je pense que tout le monde peut agir, mĂȘme si on est un homme on peut soutenir une femme. Sans tomber dans le piĂšge de parler Ă leur place. Faire ce type d’initiative, un podcast, Ă©crire quelque chose, prendre la parole, ce n’est pas forcĂ©ment donnĂ© Ă tout le monde, il y a des entreprises oĂč c’est impossible de le faire.
Dans la vie personnelle, sur les rĂ©seaux sociaux, je pense qu’on peut partager des expĂ©riences, c’est quelque chose que j’aimerais faire Ă terme un peu plus, comme m’engager dans une association ou une communautĂ© de dĂ©veloppeuse femmes qui ont peut-ĂȘtre des initiatives plus concrĂštes.
J’essaie de beaucoup parler de mon mĂ©tier autour de moi. J’en parle Ă des femmes qui ont dĂ©jĂ un mĂ©tier et qui sont plus ĂągĂ©es. Je me suis d’ailleurs rendue compte que beaucoup connaissaient peu ce mĂ©tier, ou Ă©taient surprises de voir qu’il y avait de plus en plus de femmes, et je pense que
c’est important dâen parler. Parler juste de ce qu’on aime, c’est dĂ©jĂ pas mal.
M. DĂ©jĂ faire connaĂźtre tous les mĂ©tiers liĂ©s Ă l’IT, parce que je pense qu’on a beaucoup de prĂ©jugĂ©s sur ces mĂ©tiers et on ne pense pas forcĂ©ment qu’une femme pourrait se retrouver dans ce genre de mĂ©tier.
V. C’est quelque chose que tu fais ou que tu aimerais faire?
M. Je le fais dĂ©jĂ parce que je mentore des Ă©tudiantes et des personnes qui souhaitent se reconvertir sur une plateforme spĂ©cifique oĂč je vais parler un peu de mon vĂ©cu justement de reconvertie, et donc j’ai Ă©changĂ© avec beaucoup de femmes justement sur le mĂ©tier, sur les difficultĂ©s que je peux rencontrer. C’est quelque chose que j’ai voulu faire dĂšs que je suis sortie de formation parce que je me suis dit que j’aurais aimĂ© avoir quelqu’un qui me fasse un retour d’expĂ©rience sur ce mĂ©tier justement quand j’Ă©tais en recherche de formation.
J’ai eu diffĂ©rents profils : soit ce sont des jeunes femmes qui sont dans leurs Ă©tudes et qui sont amenĂ©es Ă faire des choix vers des cursus classiques ou une orientation dans le dĂ©veloppement, la programmation, soit j’ai des profils un peu comme le mien qui font un mĂ©tier totalement diffĂ©rent et qui se posent la question de se reconvertir dans le dĂ©veloppement web.
Donc j’ai vraiment des profils trĂšs diffĂ©rents mais au final les questions restent les mĂȘmes et c’est vrai qu’il y a beaucoup d’interrogations justement sur la mixitĂ©, sur l’accueil au sein d’une Ă©quipe masculine. Ou sur le niveau de mathĂ©matiques Ă avoir ou les prĂ©requis Ă avoir, et c’est vrai que je pense qu’une femme a besoin de se rassurer aussi sur tout ça pour pouvoir se lancer et donc je trouve que c’est important justement de leur apporter ce retour d’expĂ©rience.
Si j’ai un conseil Ă donner : il ne faut pas hĂ©siter une seule seconde, je vis un pur bonheur depuis ma reconversion, donc foncez !
M. Je ne regrette pas mon choix de m’ĂȘtre dirigĂ©e dans la biologie, les sciences m’ont toujours
passionnĂ©, et vraiment j’ai vĂ©cu de trĂšs belles annĂ©es dans la bio, dans les sciences,
dans les labos.
Mais c’est vrai que j’aurais aimĂ© qu’on me propose, qu’on mâouvre les yeux sur les mĂ©tiers de lâIT parce que j’aimais dĂ©jĂ beaucoup l’informatique plus jeune et je pense que j’aurais pu explorer cette voie-lĂ et peut-ĂȘtre m’orienter directement vers le mĂ©tier de dĂ©veloppeuse, c’est sĂ»r.
V. Et toi Justine, quâest-ce que tu dirais ?
J. Je dirais que t’es pas au bout de tes surprises, parce qu’il y a peut-ĂȘtre plein de choses Ă quoi tu t’attends, tu vas t’engager, tu vas croire que c’est vraiment ta voie que tu veux faire ça, puis en fait ça peut peut-ĂȘtre changer, et le fait d’ĂȘtre en reconversion, dâĂȘtre une femme ne te rend pas moins importante ou moins compĂ©tente, et que tu seras forte.
M. Pour moi âĂȘtre branchĂ©â, c’est ĂȘtre au top de ce qui se passe en ce moment, des sujets sociĂ©taux, voilĂ , pour moi c’est ça ĂȘtre branchĂ©.
J. Pour moi, quand j’entends le mot branchĂ©, j’entends le mot connectĂ©, du coup c’est comme lĂ aujourd’hui, on est connectĂ©, il y a des cĂąbles, des voix, et du coup c’est pouvoir Ă©changer, s’exprimer.
Dans chaque Ă©pisode, nous branchons nos micros avec des personnalitĂ©s inspirantes et des experts de la transition Ă©nergĂ©tique, Ă©cologique et solidaire. Notre but : vous apporter un Ă©clairage sur le monde dâaujourdâhui et sur les idĂ©es lumineuses de demain.
Pour cette premiÚre série de 3 épisodes, nous avons décidé de mettre en lumiÚre des femmes inspirantes.
Et on est pas allĂ© bien loin pour les trouver, puisquâelles font toutes parties dâelmy. Elles sont ingĂ©nieures, analystes, dĂ©veloppeuses et ont choisi des mĂ©tiers encore trop majoritairement dits âmasculinsâ. Elles vous feront dĂ©couvrir leur parcours, leur Ă©nergie et pourquoi il ne faut pas avoir peur de se lancer dans les domaines scientifiques et technologiques.
Sources
DĂ©cryptage
Nous soutenons
le développement
des Ă©nergies faciles.
Optimisme
Nous parlons dâĂ©nergie
dans un climat
de confiance.
Prise de conscience
Nous fournissons
matiÚre à réflexion
sans prise de tĂȘte.
Votre horoscope survolté
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đŠ Lion - Vous subissez Mercure, qui nâarrĂȘte pas de grimper. Cela vous donne froid dans le dos.
đ§ Vierge - ArrĂȘtez de courir aprĂšs des idĂ©es lumineuses, au risque dâattraper des ampoules.
â Balance - Rechargez vos batteries. PrivilĂ©giez un week-end romantique ou une prise 220 volts.
đŠ Scorpion - Parce que vous devenez un piĂštre conducteur, le courant ne passe plus avec votre moitiĂ©.
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đ Capricorne - GrĂące Ă un alignement de Neptune et Linky, vous dĂ©bordez dâĂ©nergie !
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đ Poissons - Rien ne va plus cĂŽtĂ© couple : il y a de lâeau dans le gaz et de lâĂ©lectricitĂ© dans lâair.